Le pétrichor câline mes narines
Sournoise, elle surprend
Dans un élan de création l'aléa me freine
La pluie, l'horizon, les arbres nus l'inspire
Incolore, indolore, inodore, elle contrôle
Ma si belle qui souvent accueille les bêtes
Du soleil, du sable fin, je rêve souvent pernicieusement
Je suis une étoile filante imprégnée de peccadilles
Qu'en avançant j'égare
J'accepte les vertus comme un tamis retient les pépites d'or
Dans ma douce solitude je les traduis et traverse
Ma paroi rigide les réfléchi
Dans ce dégoût honteux je baigne
J'exalte ma belle voie
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