Amour Universel
Une femme qui aime une femme
cela n'a rien d'infâme
C'est juste comme une flamme
allumée par l'amour de dames .
Un homme qui aime un homme
C'est juste quelqu'un qui affectionne
Ce n'est qu'une personne
Une personne qu'on abandonne .
Voilà maintenant plus d'un an
Un an de survie
Un an de souffrance et de folie
Voilà maintenant plus d'un an que tu es parti
Tout ceci fut apparement inévitable
Peut être l'avons nous trop évité
Peut être aurions nous pu en discuter
Mais bien sûr cela n'aurait rien arrangé
Comment aurais-je, comment aurais-tu, comment aurait-on ?
Comment aurais-je tout changé ?
Comment aurais-tu tout recommencé ?
Comment aurait-on tout amélioré ?
J'aurais peut être dû t'écouter
Chaque jour je ne pense qu'à toi
Alors que toi tu ne peux plus penser à moi
Car tu as arrêté de penser
Dès l'instant où tu t'es suicidé
Dès l'instant que tu as oublié
Que j'aurais pu t'aider
Une petite fille qui
parle à son père
Courir...en arrière.
En avant, au delà des mers, au delà des flots.
Sur les chemins tortueux,
Dans les forêts d'oiseaux.
Sur les plages jaunis par le soleil,
Sur l'eau bleutée par le ciel.
Au dessus des nuages.
Dans les entrailles de la Terre.
je me réveil je resterais bien plus logtemps
le lit me rappelle dur de le quitter
sombre chambre il y a rien sauf mon écrand
je me prépare du colombine j'entend
dans le bus mon regard vassie
ver de nouveaux réve je dévie
un doux messege me raméne
je prend vite mon téléphone
Un amour passé, parfois négligé
Des moments clés et jamais oubliés
Des amitiés gâchées pour un fragment d’âme à sauver
Un espoir délaissé et un cœur terrassé
La vie est parfois surprenante
Pleine de rencontres intrigantes
Mais certaines d’entre elles
Laisseront parfois des séquelles
Le pétrichor câline mes narines
Sournoise, elle surprend
Dans un élan de création l'aléa me freine
La pluie, l'horizon, les arbres nus l'inspire
Incolore, indolore, inodore, elle contrôle
Ma si belle qui souvent accueille les bêtes
Du soleil, du sable fin, je rêve souvent pernicieusement
Je suis une étoile filante imprégnée de peccadilles
Qu'en avançant j'égare
J'accepte les vertus comme un tamis retient les pépites d'or
Dans ma douce solitude je les traduis et traverse
Ma paroi rigide les réfléchi
Dans ce dégoût honteux je baigne
J'exalte ma belle voie
Mon coeur bat la chamade, ô pour toi mer divine
O toi qui m'a vu naître et qui me verra mort
Toi aux mille trésors, berce moi quand je dors
Viens-tu du ciel obscur, ou bien des doux abîmes?
O toi mer intrépide, ô toi mer impassible
Ton corps me caresse, de sa peau bleue sublime
Raconte moi tes rêves, où tu te fais tuer
O mer éternelle, mer de toute beauté
Sois sûr d'une chose, de mon amour intime
O seras-tu là mer? Lors de ma dernière heure
O seras-tu là mer? O pour voler mon coeur
Et laisse moi t'offrir, ô les vers de ton hymne
J'admire les femmes: leur beauté et leur force
Marocaines, espagnoles, ukrainiennes ou corses
J'admire leurs talents, leurs savoir-faires
Qu'elles soient professeurs, boulangères, commissaires.
Qu'elles soient vieilles dames ou jeunes fillettes,
J'admire les femmes: pantalons ou jupette,
Casque, gants de maçon ou tutu de danseuse:
L'importance du style pour moi est douteuse.
Peu importe la masses, le poids ou la taille,
Qu'il s'agisse d'une princesse ou d'une petite racaille.
Tant il y a différences: dans leurs gestes, leurs allures
Certaines sont fragiles, d'autres - très dures.
J'admire les femmes, la gente féminine
Leurs rires, humeurs, réactions enfantines.
Elles ont toutes quelque-chose, un grain de finesse
Ces belles créatures mènent les hommes à l'ivresse.
Par la force du regard, par leurs douces voix,
Par le fait d'être reine auprès d'un roi.
Belles, vives, souriantes, patientes,
Folles, spontanées, intelligentes,
Carrieristes, mamans, amies et amantes-
Vous êtes toutes si jolies et si importantes!
Vous portez en vous toutes la beauté de ce monde
Telles que vous êtes : minces ou rondes, brunes ou blondes.
Vous êtes lunes dans le ciel nocturne de campagne
Er soleils dans les cieux nuageux de Bretagne
J'estime qu'il est important de le dire :
Femmes, je vous admire, je nous admire!
Sasha Eremina. 17.
Un amour sans contrat,
Des erreurs acceptées,
Des moments compliqués,
Mais l'amour triomphera,
Nous somme unis par le lien .
Elle va bien , je vais bien .
Elle sourit , je sourit .
Elle es heureuse , je suis heureux.
Nous sommes qu'un.
Elle perd du poid , j'en gagne .
Elle fatigue , je fatigue .
Elle perd ses cheveux , je les garde .
Ma lueur,
Chère amie, maintenant vole te voilà libre.
En guise d’adieu, la douleur de tes aveux,
Mes sentiments se bousculent je me sens ivre
L’horizon paraît sombre et monstrueux
"Pleine plume"
Un soir de pleine lune, et avec une pleine plume.
tu te tiens là, comme un fantôme et ma présence s'efface,
Que faut-il faire pour ajouter ta lumiere, a l ombre qui passe?
J'ai pris ma gomme a la place de mon crayon,
Qui Suis-je
Suis-je, Dépourvu de raison ?
Ou suis-je illuminé
Suis-je, dans une fiction ?
Ou bien sur des terrain miné
Suis-je, la pour dégommer la passion ?
Ou bien remettre une autre réalité,
Suis-je, interprète ou un simple Auteur ?
Rondeau à Orage
Avec passion ma belle Orage,Allons de bon goût à cette rage,Qui nous habite dans nos pensées.Encore tout jeune mais élancée,Tu te donnais plus que par courage.
Tendre promise laisse l’ouvrage,Et viens danser sur cette plage.Ton affection s’est dévoiléeAvec passion!Encore vaillant tout ces nuages,Ces vielles âmes qui n’ont pas d’âge,Tourmentent le ciel, mer délaissée!Toi ma moitié ne sois blaséeEt faisons l’amour sur le rivageAvec passion!
Sans Réponse
Ai-je le droit de t'aimer,
Habitante de mes rêves ?
Prends-tu le droit de m'aimer,
Prisonnière de tes rêves ?
C’est compliqué de penser.
Mon cœur prit dans la tempête.
Dit moi toute ta penser.
Ton cœur enivre ma tête.
Sans ta vue, je ne peux voir.
En aveugle je te blesse.
Ta peine. Je peux la voir.
Pourquoi, partir tu me laisses ?
Ne suis-je qu'un poids pour toi ?
Ma question est réelle.
Mon amour est lourd pour toi ?
Mon ressenti est réel.
J'ai besoin de tes réponses.
Me faire mal ? Je m'en fous !
Je souffre sans tes réponses.
Dans l'inconnu, je suis fou.
Si chacun savait ce que chacun
Pensaient de chacun
Chacun se méfieraient de chacun
Si chacun pouvait donner à chacun
Chacun se contenterait de chacun
Si chacun voulait aider chacun
Chacun aurait un lien de chacun,
Chacun manquerait chacun
Si chacun pouvait aller au combat, ce que chacun,
Chacun serait libéré de chacun,
Sombre Désespoir
Depuis quelque temps
Je tourne en rond
C’est comme une boucle sans fin
Je marche sans savoir où je vais
Seul contre ce monde dévastateur
J’ai besoins de toi plus que tout
Oh toi à qui je raconte tout
À qui je fais part de mes problèmes et mes peines mes secrets les plus intimes
Vient me retrouver là où je me sent bien
Loin de ce monde loin de tout
Oh toi cette personne que je connais pas
Que j’aimerais tant te connaître
J’espère te voir dans un proche à venir
Je me souviens de ce jour,
Ce jour où tu m'as dit je t'aime,
J'étais comme sourd,
Je n'ai pu te dire je t'aime.
Les années sont passés,
Toi
Tu es là pour moi
Je te regarde
Je te vois
Je viens
Vers toi
Qui es tu? Pourquoi?
Je me le demande vraiment
Il était une fois, cet être angélique,
Qui, lors d'une rencontre aussi surprenante que sympathique,
Semblait fuir un passé tragique.
D'une simplicité et d'une beauté à en devenir asthmatique,
Donnera naissance à une connexion de nos deux corps pudiques,
Qui ne pouvait être que logique.
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