Le bonheur est-il vraiment présent
Ou est-ce juste notre simple imagination
Mon imagination s’évapore avec le temps
Et je plonge seule dans le noir profond
J’espère être capable de revoir l’aurore
Prise au piège sous la noirceur du ciel
Entouré de l’ombre avec sa sombrete qui en fait toute sa beauté
Un son d’écho qui tend vers l’infini
Ces statut étonnées de son allure tout autour
Sa fragilité posé nue sans que rien ne soit lue
Des gouttes d’eau qui tombent en pleurant,
Ce sentiment que je ressens,
Cette sensation d'emprisonnement,
Derrière un mur infranchissable,
Un pont instable,
J'essaye chaque jours d'avancer,
Cette voix dans ma tête,
Tu me parle encore et encore,
En attendant qu'un jour tu t'arrêtes,
Espérant simplement que tu es tort.
Cette voix qui m'étouffe,
Sans pouvoir reprendre ma respiration,
Voilà maintenant plus d'un an
Un an de survie
Un an de souffrance et de folie
Voilà maintenant plus d'un an que tu es parti
Tout ceci fut apparement inévitable
Peut être l'avons nous trop évité
Peut être aurions nous pu en discuter
Mais bien sûr cela n'aurait rien arrangé
Comment aurais-je, comment aurais-tu, comment aurait-on ?
Comment aurais-je tout changé ?
Comment aurais-tu tout recommencé ?
Comment aurait-on tout amélioré ?
J'aurais peut être dû t'écouter
Chaque jour je ne pense qu'à toi
Alors que toi tu ne peux plus penser à moi
Car tu as arrêté de penser
Dès l'instant où tu t'es suicidé
Dès l'instant que tu as oublié
Que j'aurais pu t'aider
Une petite fille qui
parle à son père
Courir...en arrière.
En avant, au delà des mers, au delà des flots.
Sur les chemins tortueux,
Dans les forêts d'oiseaux.
Sur les plages jaunis par le soleil,
Sur l'eau bleutée par le ciel.
Au dessus des nuages.
Dans les entrailles de la Terre.
Á mort sur la pointe des pieds pendant que je vais; la cloche de la vie sonna d'une brise fraîche.
Mon cæur aqité est un orphelin plein d'espoir de la désolation de la vie.Mon souffle était insuffisant pour Les priéres de cette cloche.J'amierais casser la cloche atteindre l'incertitude de la mort.Parcel que ma vie ressemble beaucoup á ça.Mais ce n'est qu'une réflexion; une illusion dans le désir.
L'éléphant sur le mur
Me voilà de retour dans ce monde qui brûle C'est peut-être une cure, c'est peut-être la cigüe Tu n'es qu'une cellule, tu m'as mis en cellule Je n'en ai pas la clé, est-ce que je suis fichu ?
Alors moi, je m'évade, j'oublie l'enfermement Je libère mon esprit et crée ma propre clé Juste avec ces mots qui volent à tout venant Ces mots qui viennent, issus de profondes pensées
Nous somme unis par le lien .
Elle va bien , je vais bien .
Elle sourit , je sourit .
Elle es heureuse , je suis heureux.
Nous sommes qu'un.
Elle perd du poid , j'en gagne .
Elle fatigue , je fatigue .
Elle perd ses cheveux , je les garde .
Ma lueur,
Chère amie, maintenant vole te voilà libre.
En guise d’adieu, la douleur de tes aveux,
Mes sentiments se bousculent je me sens ivre
L’horizon paraît sombre et monstrueux
On amasse les massacres et l'on sacre la masse
On les a massacrés, démembrés, même plus Ravivant le souvenir d'Auschwitz, ou Buchenwald Ces temps où l'on tuait des juifs, rien de plus... Prouvant combien les gens étaient manipulables
"Pleine plume"
Un soir de pleine lune, et avec une pleine plume.
tu te tiens là, comme un fantôme et ma présence s'efface,
Que faut-il faire pour ajouter ta lumiere, a l ombre qui passe?
J'ai pris ma gomme a la place de mon crayon,
Qui Suis-je
Suis-je, Dépourvu de raison ?
Ou suis-je illuminé
Suis-je, dans une fiction ?
Ou bien sur des terrain miné
Suis-je, la pour dégommer la passion ?
Ou bien remettre une autre réalité,
Suis-je, interprète ou un simple Auteur ?
Sans Réponse
Ai-je le droit de t'aimer,
Habitante de mes rêves ?
Prends-tu le droit de m'aimer,
Prisonnière de tes rêves ?
C’est compliqué de penser.
Mon cœur prit dans la tempête.
Dit moi toute ta penser.
Ton cœur enivre ma tête.
Sans ta vue, je ne peux voir.
En aveugle je te blesse.
Ta peine. Je peux la voir.
Pourquoi, partir tu me laisses ?
Ne suis-je qu'un poids pour toi ?
Ma question est réelle.
Mon amour est lourd pour toi ?
Mon ressenti est réel.
J'ai besoin de tes réponses.
Me faire mal ? Je m'en fous !
Je souffre sans tes réponses.
Dans l'inconnu, je suis fou.
Je me souviens de ce jour,
Ce jour où tu m'as dit je t'aime,
J'étais comme sourd,
Je n'ai pu te dire je t'aime.
Les années sont passés,
Toi
Tu es là pour moi
Je te regarde
Je te vois
Je viens
Vers toi
Qui es tu? Pourquoi?
Je me le demande vraiment
Toi, l’enfant que je voyais courir dans la rue,
Toi, l’enfant qui semblait heureux,
Je me rappelle encore de ses jours merveilleux,
Quand tu jouais pieds nus,
Il était une fois, cet être angélique,
Qui, lors d'une rencontre aussi surprenante que sympathique,
Semblait fuir un passé tragique.
D'une simplicité et d'une beauté à en devenir asthmatique,
Donnera naissance à une connexion de nos deux corps pudiques,
Qui ne pouvait être que logique.
Il écrivit des vers
Pour se noyer dans ses mots
Loin des paroles en l'air
Mais proche du bar du bord de mer.
Rester toujours sur les flots
Des mots que l'on dit avant la guerre
Voyage
Il est parti en voyage.
Une matinée, après avoir longuement réfléchi, repensé, attendu, il nous as quittés.
Pour aller où ? On ne sait pas trop. Certaines personnes croient en certaines choses, d'autres préfèrent ne pas croire du tout.
Il nous manque.
Copyright © 2006 / 2024 Vos poèmes (partage de poèmes) — Tous droits réservés
Plan du site Créé et géré par : Thierry M. (Isidore)
Information légale - Politique de cookies