Pauvre chaperon rouge
J’étais seul et perdu à ce huitième étageAvec mes trois enfants, tous quatre abandonnésPar une femme injuste à qui j’avais donnéMon amour qu’elle trahit pour un homme d’un autre âge.
Je passais une annonce, pour une aide de ménage Qui s’occuperait d’eux tout au long de l’année, Puisque de mon travail j’étais subordonné, Et qu’il fallait quelqu’un pour faire leur gardiennage.
Là tu m’es apparue, belle dans ton rouge manteau, Un éclair sans égal, dans ton regard si beau,Fit qu’en un seul instant me subjugua ton charme.
Aussitôt tu entrais dans cette nouvelle maison,Ton travail fut parfait !, lassée de ton alarme Mon aînée te chassa sans une vraie raison.
Octobre 2012, à Maria avec mon doux souvenir
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