Oh ! grand yeux noirs sans regard
Tu admire de tes griffes de glace
Ton âme de furie pleine de grâce
Rampant à quatre pattes sous l’aurore du désespoir
Tu chante la douce mélodie du vacarme
Résonnant sous l’aurore des cieux
Illuminé par la douce clarté de tes tendres veux
En berçant dans le plus grand des charmes
La sainte furie de ta beauté sans égale
Croyant de l’enfer utopique
Tu aveugle par les merveilles de l’autodafé
Tu assourdi par tes miséreux chants d’athées
Tu dégoûte par le saint corps du christ, idyllique
Manière de te dresser sur tes deux appendices
Possesseur de lame de fer ou de terre
Vivant pour mourir, mourant pour vivre
Tu hurle ta puissance dans une brise de cidre
Criant ton allégresse dans une tornade de chair
Tu ris sous un ciel emplie de gris
Sous une montagne de corps sans vie
Ensevelie sous un magma vermeille
Recouvert d’efflux putride de merveille
Maître de la terre
Dieux des airs
A l’égale même du démon salvateur
Définissant l’idéal, la propagande des cœurs
Oh ! grande beauté illusoire
Resplendissante splendeur opaque
Te faisant miroiter dans l’aube bestial
Toi créature enfoncé dans un long voile
De tes trois racines cannibalisant les cendres de ton âme
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