« – Regardez ! Qu’est-ce donc ? Mais quelle horrible horreur !
Voyez ce qu’il a fait à ce pauvre poème.
Voyez ce faible enfant, ce petit est tout blême.
Ah, quel sanglant barbare est à ce point, sans cœur,
Pour faire pareil chose horrifiante et honnie ?
Qui se bidonnerait en voyant l'agonie ;
D’un triste ange encor dans le berceau de candeur
Qui tète doucement le sein rond d’Aphrodite
Pour recevoir le lait, eau céleste et bénite,
Du long ruisseau divin à l’innocente odeur.
C’est sûr c’est un démon qui l’a arraché du
Ciel suprême et moelleux de l’enfance vermeille
Ô grands Dieux de l’olympe, ô Muses, ô Merveille
Protégez, ce bambin mourant, sonnet pendu ! ? »
Merci de laisser un commentaire !
1000 caractères restants
Copyright © 2006 / 2024 Vos poèmes (partage de poèmes) — Tous droits réservés
Plan du site Créé et géré par : Thierry M. (Isidore)
Information légale - Politique de cookies