Attablés au café ce bel après-midi,Nous causions gaiement de quelques balivernesEt de divers sujets au fond de la taverne,Sans nulle prétention, ni rien d’approfondi.
Parlant de ton beau-père, et soudain toute gênée,Tu dis timidement « il se faisait dessous »,Il faut te rassurer, je protège mes dessous,Et ma belle couche-culotte toujours est promenée.
Une situation difficile à comprendre,Mais sentir la moiteur soudain me réveiller,Me permet jour et nuit de ne pas m’éveillerA ces besoins pressants qui peuvent me surprendre.
Je subis ce calvaire depuis ma tendre enfance, De brèves interruptions m’ont donné du répit,Mais dans ces courtes années toujours je me suis dit :Personne ne s’aperçoit de mon incontinence.
Et si je veille au grain, j’arrive quelquefois,A passer plusieurs jours sans mouiller ma culotte,Et si j’en suis content quand je me reculotte,Je songe aux lendemains qui viendront toutefois.
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