Marchant seul vers l'inconnu,Au détour de cette rue,Tu m'es soudainnement apparue,Sans y avoir vraiment crû.
Encore plus belle que dans mes souvenirs,Tu marchais d'un pas sur, sans courir.Je me suis arrêter, et puis pincer,Pour pouvoir cesser de te rêver.
Telle le fantôme de mes insomnies,Ta crinière blonde me poursuit,Ton doux visage m'apparâit souvent,Puis s'efface au passage du vent.
Ton âme abrite tellement mon esprit,Que mes yeux te montre devant moi,Toujours à portée de doigts,Encore trop loin de ma triste vie.
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