Mère de ma mère,Tu es et resteras.Même ta vie de misère,N'effacera pas l'absence de tes bras.
Tu n'as peut-être pas pu élever,Mais tu n'as pas eu l'idéeDe réveler qui est le père,Et non de rester a te taire.
Tu pourras toujours te plaindre,Tu n'auras qu'encore feindre.J'aurais toujours ce gout amer,Loin de cette grand-mère.
Tu n'est qu'une personne agée,Parmis celle que je connais,Une petite mémé,Que je n'ai jamais estimé.
Non je ne m'appelle pas Cédric.Mes yeux, là, me piquent,Je ne suis pas sur les photos,Aucune demande par tes mots.
Tu pouvais en avoir envie,J'en aurais été ravi.Mais cela fait trop d'annéeA ne pas avoir existé.
J'ai tant de questions,Autant que de déceptions,C'est peine perdu,Nous sommes et seront inconnus.
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