Illustre paysage embrassant la cote,
Tel un rustre sage embrasant nos fautes,
Mon regard blême et l'esprit flou,
cette ville que j'aime me rend fou,
Le cri des mouettes aux nuées du matin,
Le bruit des prouesses dénuées de satin,
Sous le clair de lune les ruelles chantent,
Douce mer de brume rituelle et tentante,
Le pavé jonché de souvenir et d'histoire,
Je pouvais changé de devenir et y croire,
J'aviserais le futur d'un peu d'espoir,
Deauville me fait pleurer de bonheur,
Deauville fait nous explorer ta splendeur,
Ô ville que faire quand tu quitte mon coeur.
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