Son chagrin effronte son âme;il pleure, son coeur fâne.La nuit il réflechit, car,un monde meilleur n'a pas d'ailleurs.La bataille sera terrible, tant son âme est sensible.Il devra accepter son sort, en sacrifiant son corps:passer inaperçu, dans son espoir déchu.Le blanc ira sans foi, ni loi. Ecraser son dernier toit.L'espoir de son amour aura noircit le jour.Son sentiment de solitude,à tuer son ancienne pleinitude.Il sera devenu marginal,par obligation territorialAncien bouffon, roi saltimbanqueSon courage, son égo, sa fiertén'aura su compenser son manque, son destin frôle bien de trop la banalitéapres cela plus rien ne comptera,ni vous, ni nous, ni moi, ni toila mort viendra le chercheril n'osera pas la remercierson ego est bien de trop surdimensionéEn guise d'adieu il dit à la vie: Tu n'as jamais sus me rendre mon amour,Mais on se reverra , j'en suis sûr.C'est ainsi qu'il quitta ce monde, sans aucun remord car,la vie l'aura trahi.Mathieu
Merci de laisser un commentaire !
1000 caractères restants
Copyright © 2006 / 2024 Vos poèmes (partage de poèmes) — Tous droits réservés
Plan du site Créé par : Dépanne Pc Services
Information légale - Politique de cookies