C'est un monde de cotonOù je compte es moutons,Où les bruits sont sourds et atténués,Où trop de gens ont trop rêvé, trop pleuréOù je meurs et je m'oublie,Où quand je sors, je vis je souris.
Contre mon gré ou de mon âmeJ'ai cette carcasse à porter tel un blâme,Une main portant un simple styloTentant d'oublier en vain ces ciseauxD'un être trop souvent souillé
Lorsqu'il se relève essoufflé et est de nouveau piétiné.
Une force extérieur voulant que je vie,Touchant mon cœur d'une flamme viveInexplicable mais bien présente.Alors que mal je suis aimante et souriante,Un masque bien garni et fissuréUn masque qui ne tardera pas à tomber.
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