Étreintes célestes dans l'onde des vers
Le lion farouche, messager des forts,Virevolte, déchire les suaires morts,Éveille l'amie aux métamorphoses brumeuses,Sous l'éclat solaire, ardente et précieuse.
Moi, rêvant de l'étreinte d'une femme ardente,Par mégarde, par silence, mon âme se tourmente,Je veux peindre les rives de Vénus en flammes,Et dans les flots, voir danser ses ombres infâmes.
Les nuages ourlent mes vers d'une écharpe colorée,Le bleu céleste se mêle aux eaux tourmentées,Nonchalantes et sereines, berçant mes souvenirs,Dans les limbes constellées, s'épanouissent des histoires.
Ô, si le temps, porteur de peines déchirantes,Rappelait la pluie diluvienne, son chant enivrante,Et si les sérénades se faisaient éperdues,J'aurais été ce vent, où ta chevelure se baigne nue.
Merci de laisser un commentaire !
1000 caractères restants
Copyright © 2006 / 2025 Vos poèmes (partage de poèmes) — Tous droits réservés
Plan du site Créé et géré par : Thierry M. (Isidore)
Information légale - Politique de cookies