Chambre à échos
Serein, je m’assis.
Puis,
Coincé dans cette agonie que j’ai construite
Raisonne
L’Echo, l’écho, l’écho.
Floue de sens, floue de logique,
Echo, écho, écho,
Je m’égare, affamé de cette destinée que j’ai détruite.
Ingérant avec peine ma mélancolie
Voyageant sans jamais y échapper
A cette abomination que je maudis.
Comment courir quand les illusions n’ont pas de fins ?
Elle ne s’arrête jamais cependant, elle cesse juste de bouger
Echo, écho, écho
Mais je souris,
Car même les mauvaises choses se doivent d’avoir une fin.
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