Malgré les foules massées au stadeLe foot je n’ai jamais aimé.Cela vous semble une boutade,Malgré les foules massées au stade
Vous condamnez mon incartade,Et j’en deviens le mal-aimé.Malgré les foules massées au stadeLe foot je n’ai jamais aimé.
Merci de laisser un commentaire !
1000 caractères restants
Copyright © 2006 / 2024 Vos poèmes (partage de poèmes) — Tous droits réservés
Plan du site Créé et géré par : Thierry M. (Isidore)
Information légale - Politique de cookies