Si seulement son coeur implosait
Submergé par l'affluence de son souvenir
Si seulement ses larmes inaudibles s'évanouissaient
Le temps d'un fou-rire, le long d'un hurlement muet,
Retourner à l'âge où on a pas le coeur assez grand
Pour fussiler ces regrets, brûler ces chimères...
Aigle en proie à son absence
Ailes brisées, prisonnier de sa propre cage
Il s'ennivre contre raison, contre passion
Espérant qu'au levé du soleil il entendra son murmure.
L'oiseau court après l'oubli, après un souffle
Parcoure les méandres d'une enfance
Ne disposant que d'une guitares à trois cordes,
Pour jouer l'amère mélodie d'une vie
Les accords dérapent, les paroles sont inexistantes.
Mais laisser le chanter en silence
L'amour détruira sa propre cage
Grand illusionniste du sourrire....
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