Assez de cette curiosité morbide
Dissimule bien ton malsain sourire
Retiens-le et soupire,
Avec cet air d'effondré cache ton âme avide
Te lamenter, pleurer tu juges légitime
Tu vois cette femme rejoindre les abîmes
Mais sa souffrance elle ne l'a pas encore montrée,
Tu ne sais que la condamner.
On ne voit pas sa dépression.
Tu ne remarques pas au travers de ses yeux vides,
La détresse, le mal, qui sur son coeur font pression.
Assez de cette curiosité morbide,
N'est pas le plus triste qui le parait,
Quand disparaît cet être tant aimé
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