Dans la grande chambre
Aux odeurs de l'ambre
Pendant que la cloche sonne minuit
Valentin qui guette,
Lève sa baguette,
Tel les animaux en rut dans la nuit,
Va calme et tranquille
Ainsi qu'une fille,
Alléger son coeur en proie à l'ennui ;
Voilà encore un épisode
Contenant grand vice et belle ode,
Qui est pour sûr très peu banal
Et qui restera dans l'anal.
Va, pour assouvir
Son plus grand désir,
Plonger dans la fente de l'innocence,
Au son de l'éclair,
Au son de la mer,
Son coeur qui danse l'obscène romance,
Au si doux frou-frou
Va au fond du trou
Introduire avec douceur sa semence.
Ah, l'adolescence,
Grande expérience,
De tous les sens et les émotions,
Et l'amour s'épanche
Sur ses fesse blanches
Aux moiteurs et aux émanations
De son âme belle
Où l'ardeur rebelle
Sent sourdre le jet de dévotion.
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