Les larmes caressent le fer,Pourtant la clé n'apparaît,Dans ta geôle prisonnière,J'attends, écoute et faisLa plus cruelle des attentes,Et pourtant la vie est lente,Même si l'air y est frais.
Les murs trop proches m'oppressent,Ton cœur trop loin de moiMon corps que tu délaissesLe noir a fait sa loi,Des paroles lointaines me hantent,Et la lumière bien vivanteJamais ne perd sa foi.
Et la pierre dans mes déliresQui semble aimer le noirMe donne envie de direQue le jour j'aimerais revoirEt puis encore ces gouttes,Paraissent semer le doute,Je m'échapperais ce soir.
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