Quand j'ai connu Sonia, la blonde pétillanteMon cœur ne pensait pas, situation troublante,Et qu'il en resterait un état douloureux.Je l'avais rencontré un soir au clair de lune,Elle était allongée sur le sable des dunesSe donnant des caresses, sous le regard des cieux,Laissant mouvoir son corps, sur un tempo gracieux.Je me suis approché sans un bruit de la belle,Enlevant mes habits, je me suis mis comme elle,Attendant le moment de passer à l'action,J'avais le réacteur en pleine ébullition.Quand je fus à porté de ce corps merveilleux,Que son mont de Vénus était, ah ! Mes aïeux...!Dépourvu de broussaille, que ses lèvres s'ouvraientAu passage de ses doigts, que le clito sortait,Je n'ai pas résisté, et de ma langue experte,Je lèche lentement entre les jambes ouvertes.Le reste de son corps frissonne sous mes mains,Aspirant au plaisir, qui n'était plus très loin.Quand, j'ai jugé enfin que le moment fatalÉtait à la porter de l'organe génital,J'ai chevauché Sonia, elle a crié très fortExcitant par la même ma fougue de centaure,J'inondais sans détour, le fond de son caliceEn sachant que pour elle s'était un vrai délice.Pour me remercier de cette prestation,Elle saisit ma verge encore en érectionSe mettant à jouer inexorablementDe la main, de la langue, de la bouche lentement.Pour la deuxième fois, je fis don à SoniaDe mon eau de mélisse, que d'un trait avallaJusqu'à l'ultime goutte, et beaucoup plus encore,Comme le torero pour une mise à mort.Jacques, extrait d'Exotiquement votre...
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