Amours Grévin
Mes yeux penchés sur l’ondoyante chevelureCaresses attendues sur les seins qui se pâmentLes lèvres enfin infligent les douces morsures.
Verses les larmes de cire qu’ils réclament !
Merci de laisser un commentaire !
1000 caractères restants
Copyright © 2006 / 2024 Vos poèmes (partage de poèmes) — Tous droits réservés
Plan du site Créé et géré par : Thierry M. (Isidore)
Information légale - Politique de cookies