Pris là, mon premier souffle de nuit, la mort
Dans son manteau de vie m'enrobe-t-elle, encore.
Riches d'amours et chauds, ses draps m'en font frémir
D'exaltation, je ne veux pas me rendormir.
Sans même connaître le nombre de ses merveilles,
Je souhaite que jamais l'on ne me réveille.
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