Des fois je fais ce rêve,
Ce rêve qui m'enivre,
Ce rêve que je pourrais vivre
encore et encore sans trêve.
Ce rêve qui me transporte
Au delà des nuages,
Au delà des anges,
Ce rêve qui m'emporte.
Ce sentiment que je ressens,
Cette sensation d'emprisonnement,
Derrière un mur infranchissable,
Un pont instable,
J'essaye chaque jours d'avancer,
Voilà maintenant plus d'un an
Un an de survie
Un an de souffrance et de folie
Voilà maintenant plus d'un an que tu es parti
Tout ceci fut apparement inévitable
Peut être l'avons nous trop évité
Peut être aurions nous pu en discuter
Mais bien sûr cela n'aurait rien arrangé
Comment aurais-je, comment aurais-tu, comment aurait-on ?
Comment aurais-je tout changé ?
Comment aurais-tu tout recommencé ?
Comment aurait-on tout amélioré ?
J'aurais peut être dû t'écouter
Chaque jour je ne pense qu'à toi
Alors que toi tu ne peux plus penser à moi
Car tu as arrêté de penser
Dès l'instant où tu t'es suicidé
Dès l'instant que tu as oublié
Que j'aurais pu t'aider
Une petite fille qui
parle à son père
Une bataille sans répit,
Mais femme es-tu libre?
Une bataille infinie,
Une société sans équilibre.
Un amour sans contrat,
Des erreurs acceptées,
Des moments compliqués,
Mais l'amour triomphera,
Ma lueur,
Chère amie, maintenant vole te voilà libre.
En guise d’adieu, la douleur de tes aveux,
Mes sentiments se bousculent je me sens ivre
L’horizon paraît sombre et monstrueux
Les nuits passent,
Mes rêves s'entassent,
Aussi nombreux qu'il soit,
Mes envies mes choix.
"Pleine plume"
Un soir de pleine lune, et avec une pleine plume.
tu te tiens là, comme un fantôme et ma présence s'efface,
Que faut-il faire pour ajouter ta lumiere, a l ombre qui passe?
J'ai pris ma gomme a la place de mon crayon,
Je me souviens de ce jour,
Ce jour où tu m'as dit je t'aime,
J'étais comme sourd,
Je n'ai pu te dire je t'aime.
Les années sont passés,
Toi, l’enfant que je voyais courir dans la rue,
Toi, l’enfant qui semblait heureux,
Je me rappelle encore de ses jours merveilleux,
Quand tu jouais pieds nus,
La vie est comme un chemin de montagne, c'est sur les côtés que c'est beau, mais si on ne regarde pas devant, on tombe.
Quand le sablier à fini de couler
Qu’il ne reste plus que les plaies à soigner
Que le temps à fait ces marques
Sur ton corps , sur ta face
Quand tes rides et ta peau flasque
Font tomber tout les masques
Et que le temps d’une valse
On oublie notre vielle âge
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