Des fois je fais ce rêve,
Ce rêve qui m'enivre,
Ce rêve que je pourrais vivre
encore et encore sans trêve.
Ce rêve qui me transporte
Au delà des nuages,
Au delà des anges,
Ce rêve qui m'emporte.
Ce sentiment que je ressens,
Cette sensation d'emprisonnement,
Derrière un mur infranchissable,
Un pont instable,
J'essaye chaque jours d'avancer,
Cette voix dans ma tête,
Tu me parle encore et encore,
En attendant qu'un jour tu t'arrêtes,
Espérant simplement que tu es tort.
Cette voix qui m'étouffe,
Sans pouvoir reprendre ma respiration,
Voilà maintenant plus d'un an
Un an de survie
Un an de souffrance et de folie
Voilà maintenant plus d'un an que tu es parti
Tout ceci fut apparement inévitable
Peut être l'avons nous trop évité
Peut être aurions nous pu en discuter
Mais bien sûr cela n'aurait rien arrangé
Comment aurais-je, comment aurais-tu, comment aurait-on ?
Comment aurais-je tout changé ?
Comment aurais-tu tout recommencé ?
Comment aurait-on tout amélioré ?
J'aurais peut être dû t'écouter
Chaque jour je ne pense qu'à toi
Alors que toi tu ne peux plus penser à moi
Car tu as arrêté de penser
Dès l'instant où tu t'es suicidé
Dès l'instant que tu as oublié
Que j'aurais pu t'aider
Une petite fille qui
parle à son père
Tout était blanc
Tout était calme,
Il faisait froid,
Tombaient les larmes.
"Pleine plume"
Un soir de pleine lune, et avec une pleine plume.
tu te tiens là, comme un fantôme et ma présence s'efface,
Que faut-il faire pour ajouter ta lumiere, a l ombre qui passe?
J'ai pris ma gomme a la place de mon crayon,
Rondeau à Orage
Avec passion ma belle Orage,Allons de bon goût à cette rage,Qui nous habite dans nos pensées.Encore tout jeune mais élancée,Tu te donnais plus que par courage.
Tendre promise laisse l’ouvrage,Et viens danser sur cette plage.Ton affection s’est dévoiléeAvec passion!Encore vaillant tout ces nuages,Ces vielles âmes qui n’ont pas d’âge,Tourmentent le ciel, mer délaissée!Toi ma moitié ne sois blaséeEt faisons l’amour sur le rivageAvec passion!
Toi, l’enfant que je voyais courir dans la rue,
Toi, l’enfant qui semblait heureux,
Je me rappelle encore de ses jours merveilleux,
Quand tu jouais pieds nus,
Il était une fois, cet être angélique,
Qui, lors d'une rencontre aussi surprenante que sympathique,
Semblait fuir un passé tragique.
D'une simplicité et d'une beauté à en devenir asthmatique,
Donnera naissance à une connexion de nos deux corps pudiques,
Qui ne pouvait être que logique.
Quand le sablier à fini de couler
Qu’il ne reste plus que les plaies à soigner
Que le temps à fait ces marques
Sur ton corps , sur ta face
Quand tes rides et ta peau flasque
Font tomber tout les masques
Et que le temps d’une valse
On oublie notre vielle âge
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