C'est à vous que mon coeur,
Mesdames est donné
Je l'ai abandonné,
A vos corps de douceur.
Et c'est pour vous mesdames
Que mon doux coeur s'enflamme !
Ne le déchirez pas
Il est fort et fragile
Encor plus que l'argile
Et l'odeur du trépas.
Gardez-le dans vos mains
Jusqu'au beau lendemain.
Le soleil est très frais.
Ô maudites sorcières !
Arrêtez vos prières !
Enlevez vos deux pieds,
De sur mon puits de vigne
Pouah... Cette chose indigne !
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