Dans le cœur, mélancolie de violon Dans le corps, léthargie, profanation.Mains poséesAppuyéesDominatricesDestructricesSupplice.Déferlante de tous les maux,Plus violent encore, les mots.La mer sur le corps,
L’hiver dedans, l’été dehors.Sous la chair, la saison des violettesEt au-dessus, flots de perlettes. Âme arrachée à son destin Et pour lui, un simple dessein.Le nom d’un saint, Rien d’autre.
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