Tous droits réservés par Chassaigne Agnès
Un jour et tant d’émotions,
Il y a souvent de l’incompréhension,
Nous sommes deux êtres, deux perceptions
Avec toi toujours en contradiction,
Toi qui m’as humilié
Tu qui n’as pas compris qui j’été
Certainement meilleure que ce que tu te dis
Sûr qu’en me voyant ainsi,
Désarmé, écrabouillé face à ta rigidité,
Ton manque d’humanité m’a déboussolé,
Comment peux-tu faire souffrir et ne jamais regretter
Ne crois pas que j’oublie à quel point tu m’as nui,
Avec toi j’ai subi mais j’ai appris,
J’ai balayé de côté ce que tu m’a fais
J’ai accepté qu’il y ait sans doute une part de vraie pour m’améliorer,
Toi tu n’as même pas tenté de mettre ton hostilité de côté,
De marbre tu es resté, ton cœur a dû être brisé je ne sais,
Tu resteras fermé à toutes idées,
Je vais arrêter de persévérer à t’écouter,
Pourquoi perdre son temps, fatiguer son âme et user son cœur ?
Pourquoi moi je ferais cet effort de chercher à comprendre tes malheurs ?
Etre bienveillante à ton égard n’a même pas d’effet miroir,
Tu ne vois que ton petit raisonnement,
Tu nous le rabâche à longueur de temps,
On aimerait ne pas t’entendre, mais au lieu,
On ne va pas dire tant mieux,
On te laisser cracher tes merveilleuses pensées de grande prêtresse
On ignore on laisse couler non pas par maladresse,
Nos silences font la meilleure des armées
Pour taire ton besoin de supériorité,
Tu nous impose à tous ton côté lunatique,
Nous te donnons des sourires sarcastiques,
En cette journée où j’ai dis au revoir à un patient,
Je me couche avec l’espoir que d’autres vivront des victoires,
Le cœur empli du souvenir de son sourire,
Son corps relâché, je l’ai trouvé apaisé,
Comme lui, je vais me laisser aller,
J’espère rêver ce soir l’esprit plus quiet,
La lune cette nuit est belle, la vie vaut la peine de croire,
Je ne veux pas me mettre en colère ce soir,
Je désir rester paisible pour m’endormir,
Laisser place à mon imagination, accepter mes émotions ne pas fuir mais les écrire,
Puis lâcher mon crayon, m’oublier, écouter où me mène mes aspirations,
Toi tu as fermé tes yeux sur ce monde pénible car pour toi il a été nuisible,
Moi je les ouvrirais demain et tenterais de résoudre le maximum d’énigmes,
Agnès.2.11.20
Merci de laisser un commentaire !
1000 caractères restants
Copyright © 2006 / 2024 Vos poèmes (partage de poèmes) — Tous droits réservés
Plan du site Créé par : Dépanne Pc Services
Information légale - Politique de cookies