Si tu connaissais mes insomnies,
Qui font tomber la pluie.
Il y a ce mépris qui fait la vie,
Pétrifié dans le vertige infini.
Seras-tu pardonner l'absence,
Celle qui gâche l'enfance.
Comprendras-tu les souffrances,
De se battre à contresens.
À ce triste destin qui fait la peur,
Celui qui chante les moeurs.
Pris dans l'entrave des erreurs,
Accrocher au filament de ton coeur.
Je ne trouve pas de chemin,
Qui nous amène au lendemain.
Duper dans l'étreinte de l'humain,
Écorcher par l'obscurité des saints.
Le temps est une déchirure,
À chaque seconde ses brûlures.
Les jours s'effacent au futur,
Perdu dans les cendres de l'usure.
Les pages du livre perdent l'encre,
Aux dernières palpitations âcres.
Les marins lèvent l'ancre,
Il est l'heure de quitter l'antre.
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