L’obscure clarté du crépuscule tombait doucement sur le bois
Salima avait joué toute la journée dans la belle forêt
Alors qu’elle rentrait, elle vit doucement un homme souriant approché,
Il semblait très gentil, et d’une voix douce il dit « Petite, veux tu jouer avec moi ? »
Alors que l’astre du jour déclinait doucement,
Alors que les ombres s’allongeait,
Le chant rauque d’un oiseau seul s’élevait,
C’était le chant d’un corbeau, et il semblait dire « petite va t’en »
Mais Salima fascinée n’entendait,
Ni le chant d’avertissement de l’oiseau,
Ni les recommandations que lui avait donné sa mère un peu plus tôt,
Elle fixait une friandise dans la main de l’homme, qui tranquillement souriait
Les ombres se dissipèrent et dans la douce lumière du soleil levant,
Salima marchait, son visage pâle ayant perdu
toute clarté
Doucement derrière elle s’écoulait du sang,
Et ses beaux vêtements étaient tous débraillés
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