Marilyn s’épuise
Elle suit la vague intense
Du tapis rouge qui s’enlise
Dans les méandres en turbulence
Son index s’enfonce doucement
Dans des extrêmes divers
Vers le focal rouge sang
Couleur buccale amer
Elle oscille parfois
Un balancement grotesque
Qui s’élève et tournoi
Tel un voile arabesque
Des flacons de verre
Jonchent le carrelage blanc
Une poupée joue par terre
Et s’exclame en riant
Marilyn disparait
Comme un soupir bestial
Elle s’endort à jamais
Dans la nuit de cristal
De LA
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