Ce soir je me réconcilie avec l'écriture
Ce n''est pas vraiment une décision,
Car de toute façon les décisions,
Je n'ai jamais su en prendre.
Dans cette vie je me laisse couler.
Tu te laisses couler?
Tout m'incite à me laisser aller
Et j'avoue que parfois,
J'ai l'impression de laisser passer
Tout ce qui n'est pas désarroi .
Tu te plains , toi , jeune adulte des pays riches?
Oui car je cherche, je cherche,
et je ne trouve pas
Que cherches tu ?
Qui-suis-je ? Que faisons nous la ? Quel est le but de cette absurdité ?
Mais cessons de parler toi et moi,
Cessons de réfléchir;
A partir de maintenant je veux
parler avec de jolis mots,
Ne pas Dialoguer entre deux
Mais plutôt soigner les maux
Arrêter de réfléchir.
Dire de belles choses,
soleil, ciel, nuit étoilée, sourire, couleur, coucher de soleil, paysages, voyages ...
Revenir à l'essence des choses,
Remettons nous à la page.
En quoi pouvons nous croire .
Puisque tout est éphémère , courrons
Vers L'espoir.
Entrecrochons nous, enlassons nous
entendons nous.
Pas toi et moi , non ,
mais plutôt moi et moi.
Au fond on essaye de connaître les autres,
Alors que la plus grande bataille
Celle qui n'est pas la notre ni la votre
Est celle de nous connaitre nous même.
Plus j'avance et plus le problème que je me pose
Est de savoir mon rôle, notre rôle
Sur notre petite atome, qui se décrit en prose
Et si ce rôle ?
Était celui de se connaître, de se réaliser
Savoir ou il fait plus beau marcher.
A côté de qui courir,
Auprès de qui mourir.
Je pense, je pense, je pense
Et cela active tout mes sens
Et tout en pensant, je prose, j'embellis
Ce qui est triste donc souris, souris
Tant que tu es en vie.
Mathieu
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