Du temps, qui coule à la sueur de ton visage
C’est une pluie qui s’effondre à la lueur de ton regard.
De la peur je vide les substances et le symbole de tes formes se dessine dans le présent,
À l’égard d’un miroir d’où les reflets se perdent dans la nuit, scintille la lumière de tes rêves insouciants.
Tu te moques des imbéciles nourris d’ignorance, eux qui choisissent de se frotter la panse sur un macadam rocailleux.
Ton corps est une révolte sensible, qui n’a de sens que pour celui qui peut te voir.
Et secrètement J’ai toujours ce désir, celui d’être transparent et sobre, de me rendre invisible et aveugle, d’observer l’existence avec autant de sagesse que je ne jugerais plus que le chaos.
Mais ton corps encore se courbe, pesant du silence de ta beauté convaincu et timide, le mensonge me donne le courage lâche de dépenser mes dernières larmes.
C’est dans tes yeux que le monde vit.
Dans tes grands yeux que seul celui qui te peut voir y construit ses mythes
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