Tu restes avec le temps
une image inscrite, indélébile
dans ma tête, entre cent paysages.
la silhouette-laser, luminosité irradiante
qui me traverse de toutes parts.
et comme au commencement
d’une histoire-qui-vibre
d’une idylle d’il et d’elle,
d’une redéfinition
de tous les espaces.
Alors d’accord,
moi aussi je reste un peu,
arrêt à la station
GALACTIQUA…
escale avant le prochain monde,
avant la future redéfinition
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