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Je te donne mon amour,Pour que tu me le rendes à ton tour.
Je te donne ma voix,Pour que mes mots ne soient qu'à toi.
Je te donne mon cœur,Pour que tu le charges de bonheur.
Je te donne mon souffle,Pour ne pas que tu t'étouffes.
Je te donne mon sang,Pour que tu me sois liée éternellement.
Je te donne mes mots,Pour que tu en saches trop.
Je te donne mon corps,Pour que tu en redemandes encore.
Juste une seule goutte de toiSuffit amplement à remplir mon coeur.Même si au fond de moi j'ai peurD'être déçu une énième fois.
J'ai enfin relaché toute ma frustrationDe succomber à la tentation.Je suis ne suis désormais qu'un esclaveDe tes bras qui j'espère seront sans entrave.
Il faudra certainement un peu de temps,Avant de comprendre tous tes sentiments.Tu viens de faire un homme heureux,Tu as réussi à le rendre amoureux.
Je me retrouve donc prisonnier.la peur n'évite pas le danger,Mais il y aura cette question du lendemain...Seras-tu encore là demain ?
J'ai le ventre qui papillonne pour toi,L'esprit se focalise sur toiCela fait longtemps que je n'ai pas ressentis ça,Mais comment vais-je gérer ça ?
La partie a commencéDès l'instant où tu es né.La notice n'était pas fournie,A toi de découvrir la vie.
Tu ne connais pas encore les sentiments,Mais tu commence déjà à saisir l'attachement.Tu ne comprend pas ce que tu ressens,Ni pourquoi ça bat fort par moment.
Tel un jeu de hasard,On t'a balancé dans le noir.A toi de lancer les dés,C'est ton tour de jouer.
Pour pouvoir tout gagner,Il faut avant tout se lancer,Même si tu risque de te ruiner,Ca vaut le coup d'essayer.
C'est souvent des paris truqués,A chaque mise on devient plus drogué.L'essentiel est peut-être de participer,Mais tu apprendras qu'il vaut mieux gagner.
Même si on t'a pas expliqué les règles du jeu,Tu voudras tricher en tournant les yeux,Tu adapteras le jeu à ta façon,Histoire d'éviter la case prison.
T'as beau remplir ton camembert,L'expérience ne te feras pas devenir expert,Tu tomberas toujours dans des puits,On te renverras vers la première case de ta vie.
Le jour où tu maitriseras ton destin,Tu auras eu toutes les cartes en main.Mais tu ne seras jamais à l'abriDe prendre capot au dernier pli.
Tu verras, l'amour est une compétition,Bluffs, Tacles, feintes, pièges, murs ... solutions ?Un éternel défi,Il n'y aura pas de fin de partie.
Tu te découvriras mauvais joueur,A travers la défaite, tu auras de la rancoeur,Tu songeras à te soumettre à l'inévitable,Tes stratégies se révèront peu fiables.
Tu as encore beaucoup de bornes à parcourir,Prends garde aux pièges qui te feront ralentir.Beaucoup proneront le fair-play,Pendant qu'il réfléchiront à ton forfait.
Si seulement on avait des manettes,On controlerait des pieds à la tête,On te ferait gagner des vies,Tu ne seras qu'à Mii.
Etages après étages on avancera,On aura des échelles que l'on graviras,Des pions que l'on sautera,Des points que l'on accumulera.
Tu fais monter la température,Jusqu'à la torture,Tu me fera subir une douche froide,Où j'en tomberais malade.
L'énigme n'a pas été résolue,On ne sait sortir du jeu?Le but sera d'être heureux,Même en recommençant dès le début.
Dans un moment de submersion,Par rejet de la propable frustration,Tu ignoreras toutes tes protections,Et tu t'exposera à la damnation.
Toutes tes émotionsAmpliront ton inspiration,Décupleront tes sensations,Surtout atiseront ton addiction.
De sa chrysalide elle est sortie,A côté de ce papillon de nuit,Sur cette branche, elle s'est posée.Ensemble, ils ont pensés à butiner.
De fleur en fleur ils ont volés,Sur cette feuille ils se sont accouplés.Le jour est vite tombé,Le doute s'est rapidement installé.
De cette branche, il l'a chassé.Du papillon de lumière à peine née,Le papillon de nuit n'en a plus voulu.En deux battements d'ailes, elle est néanmoins revenue.
Ils se sont redésirés, ils ont rebutinés.Sur sa branche, il a fait de la place pour sa belle,Mais celle-ci n'a plus voulu qu'on lui brise les ailes,Elle veut désormais voler de ses propres ailes.
Je me heurte souvent à ce mur,Tantôt infranchissable,Tantôt friabe,Mais toujours aussi dur.
Je ne sais comment le surmonter.J'ai pourtant la force de l'escalader,L'envie de le contourner,Mais pas d'idée pour le percer.
Je ne veux pas le détruire,Juste l'utiliser pour construire.Me faire une porte d'entrée,Afin de pouvoir aller de l'autre coté.
J'espère juste avoir assez de temps,Pour trouver quelques prises,Un chemin de détour passionnant,Qu'il cèdent sous mon emprise.
Jalonné de bonheur, des plus belles couleurs,
Emprunte ce chemin, une rose à la main.
Ton regard envoûtant, céleste, transcendant,
Attise en moi la flamme qui comblera mon âme,
Illumine mon cœur d'une telle douceur.
Magique et si belle, notre idylle est réelle.
Enlaçons-nous encore et contemplons l'aurore.
J'en ai finis avec l'amour, me voici rendu, les chaînes maintenant rompues,
Me voilà délivré de son jugement et des ses hommes de loi corrompus.
Je suis, à présent libéré de celui qui m'a jadis fait passer sous serment
D'éternité, une lame sous la gorge, une rose entre les dents.
J'ai juré, j'ai craché, que je deviendrait un fidèle zélé
Du voile immaculé et de la vierge par l'or cloisonnée,
J'ai béni, j'ai chéri ce qu'on m'avait donné comme femme commune
Je lui ai tout donné comme ordonné sur mon testament de fortune.-
Mais j'ai purgé ma peine devant leurs yeux, à tous, je l'ai rendu publique.
Juristes du cœur, jurés sentimentaux, et avocats de la fidélité,
Procureur de la raie-pudique bien sûr désapprouvée,
Et protecteur du pubis, conque sacré, prétendue unique.
Aujourd'hui ils me pardonnent, et sont tous à mes pieds,
Et je suis même autorisé à fondre l'alliance de la vertu
En petit cendrier, pour pouvoir brûler et fumer en paix
Les restes de mon cœur, car dans ce procès c'était moi le cocu !
Dans le bleu de tes yeux, j'apperçois l'océanFolie et amour, sont les vagues argentéesBaignent dans les écumes passionnés,Sous un sublime soleil flamboyant.
Je me noie dans ces ondes d'ivresse, pourtantMon corps se laisse au lointain emporterDans les flots de milles étoiles s'illuminant ;Ce n'est pas la mort qui m'attend, mais mon aimé
Vers mon futur, la mer m'emporteraL'horizon mon avenir, près de toi.Embruns de bonheur éclaboussent mon visageCar enfin je parts pour un merveilleux voyage.
Un doux soupir de bien être est le vent,Dans ces eaux scintillantes, mon cœur est heureuxPuisque je vois un signe qui m'est apaisant :Sourire du ciel, déssiné à l'encre bleue
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