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C'est avec, je le sais, une certaine émotion,Que je retrouve enfin, femmes et compagnons.J'étais, je dois le dire, dans un manque certain,J'attendais le moment de revenir... Enfin.Chaque jour, je pensais à chacun et chacune,Je n'ai rien oublié de la douce amitiéQui a lié nos cœurs et a permis d'aimerLes écrits tourmentés composés sous la lune...J'aime en chacun de vous l'être qui est présentEt je retrouve enfin, mes douces égériesCelles pour qui mon cœur ne perd pas son tempsCelles qui sont pour moi, plus que de douces amies...À vous, je vous le dis, mon cœur est en balance,Chaque jour de ma vie, c'est à vous que je pense...
" Félix qui potuit rerum cognoscere causas."Rien n'est plus merveilleux que le corps d'une femmeQui durant une vie, vous aime et vous enflamme,N'est-il pas fabuleux d'avoir auprès de soi ?Une belle créature dont le cœur en émoiTous les jours se pâment...!La femme est la plus grande réussite en ce mondeElle donne la vie lorsqu'elle est féconde...Visiter son jardin est une bénédictionEn dehors du vice et de la tentationSur un marché immonde...Cette morphologie aura été sculptéeDans un tronc de beauté depuis l'éternitéPar un artiste fou, aux grandes illusionsQui n'avait en ce temps qu'une seule passionDessiner l'être aimée...Le résultat est là, la femme est superbeComme l'eau des fontaines des Palais de ViterbeElle décide du moment, quand elle en a envie,Et bien qu'il soit géant, il se fait tout petitAux ordres de Faisherbe...L'élégante baigneuse d'Etienne FalconnetAu corps somptueux, dévoilant ses secretsMontre que de tout temps, à toutes les époquesQu'une femme toute nue, devant l'homme provoqueLa montée du loquet...Ta plus grande richesse, n'est autre que ta compagne,Une fois dans ses bras, si l'amour l'accompagne,Elle deviendra alors une docile enfantNe cherchant pas ses caresses, le geste convainquantVoulant que tu l'empoignes...Tu viens de jeter l'ancre au port mystérieux,Le bateau a sombré, et tu lis dans ses yeuxQu'une grande passion reçue comme une claque,Et un puzzle géant qu'on a livré en vracQui devient fabuleux....J'ai écrit cela, quia nominor jack.
Quand j'ai connu Sonia, la blonde pétillanteMon cœur ne pensait pas, situation troublante,Et qu'il en resterait un état douloureux.Je l'avais rencontré un soir au clair de lune,Elle était allongée sur le sable des dunesSe donnant des caresses, sous le regard des cieux,Laissant mouvoir son corps, sur un tempo gracieux.Je me suis approché sans un bruit de la belle,Enlevant mes habits, je me suis mis comme elle,Attendant le moment de passer à l'action,J'avais le réacteur en pleine ébullition.Quand je fus à porté de ce corps merveilleux,Que son mont de Vénus était, ah ! Mes aïeux...!Dépourvu de broussaille, que ses lèvres s'ouvraientAu passage de ses doigts, que le clito sortait,Je n'ai pas résisté, et de ma langue experte,Je lèche lentement entre les jambes ouvertes.Le reste de son corps frissonne sous mes mains,Aspirant au plaisir, qui n'était plus très loin.Quand, j'ai jugé enfin que le moment fatalÉtait à la porter de l'organe génital,J'ai chevauché Sonia, elle a crié très fortExcitant par la même ma fougue de centaure,J'inondais sans détour, le fond de son caliceEn sachant que pour elle s'était un vrai délice.Pour me remercier de cette prestation,Elle saisit ma verge encore en érectionSe mettant à jouer inexorablementDe la main, de la langue, de la bouche lentement.Pour la deuxième fois, je fis don à SoniaDe mon eau de mélisse, que d'un trait avallaJusqu'à l'ultime goutte, et beaucoup plus encore,Comme le torero pour une mise à mort.Jacques, extrait d'Exotiquement votre...
Toi... Que j'ai tant attendu, toi qui n'étais qu'un rêve,Maintenant, mon amour ne te lâchera plus,Je veux te protéger, et sans faire de trêve,T'apporter un amour qui t'était défendu...Quand nos corps enlacés se nourriront d'amourQuand je deviendrai tien, et que tu seras mienne,Que les yeux dans les yeux, le regard un peu lourd,Nous verserons chacun des larmes diluviennes,Nous saurons toi et moi ce que veut dire aimer,Défions l'âge et le temps, retrouvons du plaisirRetrouvons cet amour que l'on nous a volé,Il est tant mon amour pour nous de repartir...Avons assez souffert toi et moi de ce manqueAujourd'hui, notre amour, c'est une porte ouverteAimons-nous au grand jour comme les saltimbanquesLaissons vivre nos corps qui devenaient inertes...Ma douce petite fleur, mon rayon de soleilLa routine avait fait de nos vies un désert,Nous avons découvert un monde sans pareilNotre amour, maintenant, sera notre dessert.Jacques
Si je me suis épris de cette belle enfant, C'est que je l'ai connu il y a fort longtemps, D'un pays ou l'amour était encore tabou, Et ou, aux indigents on leur brisait le cou... Mais nous nous sommes aimés, d'un amour passionné Nous avons échoué dans ce monde pervers Nous fûmes retenus prisonniers, emmenés, Puis enfin séparés aux portes de l'enfer... Maintenant nous nous sommes retrouvés tous les deux Puis avons fait renaître cet amour oublié, Et personne aujourd'hui ne pourra empêcher, Cet amour partagé de vivre enfin heureux... Nous avons attendu le temps d'une autre vie, Nous avons maintenant le temps de notre vie...
Je parcourais sans fin tous les chemin de France, M'arrêtant ça et là, tirant ma révérence, Devant je ne sais qui, à faire je ne sais quoi, Mais toujours respectant les autres, c'est ma loi... Je me suis mis à lire au détour d'un chemin, Un billet bien écrit, sur un beau parchemin, Je tombais amoureux de ce billet si doux Ecrite de la main d'une femme, mais d'où..! Ou était-elle la belle afin que je l'honore, Et qu'importe l'endroit qu'importe le décor, Je voulais la trouver pour lui dire que mon cur C'était éprit du sien un beau jour vers cinq heures... Je l'ai enfin trouvé cette femme si belle, Elle se dissimulait sous le nom d'Isabelle...
Ecoute mon amour ce que j'ai à te dire, Ne crois pas que je sois en poète en délire, Non je ne suis qu'un homme, un homme qui t'admire, Un homme amoureux, un homme qui te désire... Ecoute mon amour mon petit coeur qui bat... Il ne cesse de crier mais tu ne l'entends pas, Car bien trop loin de lui, il n'arrivera pas, A faire parvenir ses battements là-bas... Ecoute ma complainte mon amour merveilleux La chanson du poète qui veut te rendre heureux Celle qu'il a fredonnée en te faisant la cour... Quand dans ses bras serré, tu lui as fait l'amour, Ecoute la façon dont il te dit je t'aime, Que ce soit par ses cris, ou par ses poèmes...
Je dis mes mots d'amour avec sincérité, Une seule vérité sortira de mon coeur, Je t'aime Mélodie toi ma petite fleur, La femme dont mon esprit avait toujours rêvé. J'écris mes mots d'amour avec sincérité Pour la femme que j'aime et qui s'ai révélé Etre à mes yeux, l’amour, dans toute sa bonté, Me donnant le bonheur et l'affectivité. Je cris mes mots d'amour avec sincérité Je pleur mes mots d'amour avec sincérité, Je donne mon amour avec sincérité... A toi ma douce reine, ma fleur, ma mélodie A toi mon Isabelle qui est toute ma vie, Et la dernière femme que je désire aimer...
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