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SI TU ETAIS...
Si tu étais le vent, je serais un bateau,Et je me bercerais de toi, au fil de l'eau...Si tu étais étoile, je serais le néantPour que tu brilles en moi pendant plus de mille ans
Si tu était-ce que je suis, et que je soisCe que tu es, je serais toi, tu serais moi,Mais notre amour serait le même, j'en suis certain,Tes idées seraient les miennes, comme notre destin.
Si tu étais tout simplement l'élue d'un cœur,En détresse, et que tu fasses son bonheur,Si tu étais tout simplement la femme qu'il aime,
La femme à qui ,il aime dire des je t'aime..Tu pourrais simplement te blottir dans ses bras,Si tu étais tout simplement l'élue d'un cœur,
Jacques
Je te donne Mélodie mon cœur ivre d'amour,Et tous les sentiments qui lui tournent autour,Je te donne mon amour tout ce que j'ai de mieuxY compris mon sourire que tu trouves mélodieux...Je te donne l'amour, mais je te donne aussiLe respect, l'attention, et toutes les foliesQui font que mon amour au-delà de l'histoireRestera à jamais gravé dans ta mémoire...Je te donne mes caresses qui deviennent magiques,T'apportant, je le sais un plaisir unique...Je te donnerai plus quand nous serons les deux,Et quand, les soirs d'hivers devant la cheminée,Crépitant feu de bois, nous pourrons nous aimer,Juste avec un regard qui nous rendra heureux...
C'est comme si je m'étais sorti d'un autre monde,La douceur est venue, ainsi que la tendresse,Je n'ai rien invoqué, ni les dieux ni les ondes,Elle s'est ouverte à moi, j'en ai fait ma princesse.D'abord, elle a été ma princesse de cœur,Juste dans mes écrits, je lui offrais des fleurs,Puis un jour, lentement la porte s'est ouverte,Et elle m'a redonné cette jeunesse verteQui manquait à mon être depuis plus de trois ansElle m'a choyée, aimée, comprit et mieux encore,Dans un élan d'amour, ne fait don de son corps,À moi pauvre poète qui n'espérait pas tant...C'est comme si d'un seul coup, j'étais dans la lumière,Ah cette Mélodie, mon Dieu que j'en suis fière...
C'est si beau l'amour...! Quand on peut s'exprimer,Quand on peut le chanter, et que l'on peut sourire...Merveilleux de pouvoir offrir sa destinéeÀ la femme que l'on aime, femme que l'on désire,Oui...! C'est si beau l'amour...! De deux êtres enlacésPour n'en former qu'un seul, s'élèvent des soupirs,Qu'émergent des caresses dans toutes leurs voluptésQue frissonne ce corps jusqu'à n'en plus finir...Oui...! C'est si beau l'amour...! De pouvoir l'apporterÀ cet être de chair éprouvant du plaisirEt auquel son amour n'avait rien demandé,Pouvoir lui donner sans jamais repartirL'amour qu'elle attend depuis bien des années...Oui ...! C'est cela l'amour dans toute sa beauté...
C'est avec, je le sais, une certaine émotion,Que je retrouve enfin, femmes et compagnons.J'étais, je dois le dire, dans un manque certain,J'attendais le moment de revenir... Enfin.Chaque jour, je pensais à chacun et chacune,Je n'ai rien oublié de la douce amitiéQui a lié nos cœurs et a permis d'aimerLes écrits tourmentés composés sous la lune...J'aime en chacun de vous l'être qui est présentEt je retrouve enfin, mes douces égériesCelles pour qui mon cœur ne perd pas son tempsCelles qui sont pour moi, plus que de douces amies...À vous, je vous le dis, mon cœur est en balance,Chaque jour de ma vie, c'est à vous que je pense...
Quand j'ai connu Sonia, la blonde pétillanteMon cœur ne pensait pas, situation troublante,Et qu'il en resterait un état douloureux.Je l'avais rencontré un soir au clair de lune,Elle était allongée sur le sable des dunesSe donnant des caresses, sous le regard des cieux,Laissant mouvoir son corps, sur un tempo gracieux.Je me suis approché sans un bruit de la belle,Enlevant mes habits, je me suis mis comme elle,Attendant le moment de passer à l'action,J'avais le réacteur en pleine ébullition.Quand je fus à porté de ce corps merveilleux,Que son mont de Vénus était, ah ! Mes aïeux...!Dépourvu de broussaille, que ses lèvres s'ouvraientAu passage de ses doigts, que le clito sortait,Je n'ai pas résisté, et de ma langue experte,Je lèche lentement entre les jambes ouvertes.Le reste de son corps frissonne sous mes mains,Aspirant au plaisir, qui n'était plus très loin.Quand, j'ai jugé enfin que le moment fatalÉtait à la porter de l'organe génital,J'ai chevauché Sonia, elle a crié très fortExcitant par la même ma fougue de centaure,J'inondais sans détour, le fond de son caliceEn sachant que pour elle s'était un vrai délice.Pour me remercier de cette prestation,Elle saisit ma verge encore en érectionSe mettant à jouer inexorablementDe la main, de la langue, de la bouche lentement.Pour la deuxième fois, je fis don à SoniaDe mon eau de mélisse, que d'un trait avallaJusqu'à l'ultime goutte, et beaucoup plus encore,Comme le torero pour une mise à mort.Jacques, extrait d'Exotiquement votre...
" Félix qui potuit rerum cognoscere causas."Rien n'est plus merveilleux que le corps d'une femmeQui durant une vie, vous aime et vous enflamme,N'est-il pas fabuleux d'avoir auprès de soi ?Une belle créature dont le cœur en émoiTous les jours se pâment...!La femme est la plus grande réussite en ce mondeElle donne la vie lorsqu'elle est féconde...Visiter son jardin est une bénédictionEn dehors du vice et de la tentationSur un marché immonde...Cette morphologie aura été sculptéeDans un tronc de beauté depuis l'éternitéPar un artiste fou, aux grandes illusionsQui n'avait en ce temps qu'une seule passionDessiner l'être aimée...Le résultat est là, la femme est superbeComme l'eau des fontaines des Palais de ViterbeElle décide du moment, quand elle en a envie,Et bien qu'il soit géant, il se fait tout petitAux ordres de Faisherbe...L'élégante baigneuse d'Etienne FalconnetAu corps somptueux, dévoilant ses secretsMontre que de tout temps, à toutes les époquesQu'une femme toute nue, devant l'homme provoqueLa montée du loquet...Ta plus grande richesse, n'est autre que ta compagne,Une fois dans ses bras, si l'amour l'accompagne,Elle deviendra alors une docile enfantNe cherchant pas ses caresses, le geste convainquantVoulant que tu l'empoignes...Tu viens de jeter l'ancre au port mystérieux,Le bateau a sombré, et tu lis dans ses yeuxQu'une grande passion reçue comme une claque,Et un puzzle géant qu'on a livré en vracQui devient fabuleux....J'ai écrit cela, quia nominor jack.
Toi... Que j'ai tant attendu, toi qui n'étais qu'un rêve,Maintenant, mon amour ne te lâchera plus,Je veux te protéger, et sans faire de trêve,T'apporter un amour qui t'était défendu...Quand nos corps enlacés se nourriront d'amourQuand je deviendrai tien, et que tu seras mienne,Que les yeux dans les yeux, le regard un peu lourd,Nous verserons chacun des larmes diluviennes,Nous saurons toi et moi ce que veut dire aimer,Défions l'âge et le temps, retrouvons du plaisirRetrouvons cet amour que l'on nous a volé,Il est tant mon amour pour nous de repartir...Avons assez souffert toi et moi de ce manqueAujourd'hui, notre amour, c'est une porte ouverteAimons-nous au grand jour comme les saltimbanquesLaissons vivre nos corps qui devenaient inertes...Ma douce petite fleur, mon rayon de soleilLa routine avait fait de nos vies un désert,Nous avons découvert un monde sans pareilNotre amour, maintenant, sera notre dessert.Jacques
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