Changer le consentement du cookie Supprimer les cookies Vous avez autorisé les cookies à être placés sur votre ordinateur. Cette décision peut être inversée.
De chagrins en chagrins,
De peines en peines,
De déceptions en trahisons,
Mon coeur meurtie tente un enième recours,
Un appel, un SOS, ma détresse,
Au secours ma vie dérape encore,
Le précipice au bord,
La falaise, mon malaise,
Mon horreur, mon malheur,
Ma vie n'est plus,
Pardon.
Tu es là, je suis là, A croire que rien ne nous sépare, Je te ponctue de mes regards, Sans jamais savoir si tu m'aimeras. Dieu a réalisé tout son travail, Dans la création de ton beau visage, Sans couleur ni maquillage, Pour créer sa plus jolie trouvaille. J'échangerai une montagne d'or, Pour le seul plaisir de ton regard, Qui éliminerait tout désespoir. Malheureusement j'espère à tort. Je n'ai jamais réussi à te parler, Je suis bien trop loin de tout ça, La beauté je ne l'ai pas, Et sans ça je ne peux oser. Tu es ma reine, Et je ne suis qu'un vulgaire valet, Je serai toujours là si jamais, Je puis retirer de ton cœur toutes tes peines. C'est la flèche dans le cœur, Que je vous conte ces quelques vers, Pour montrer mon doux rêve amer. Et son inaccessible fleur. A toi, qui est plus belle que le saphir, je te dédie ce poème pour te montrer à quel point tu me fais souffrir sans je pense savoir que je t'aime.
C’était une nuit de noël
Jenny dansait comme folle
Sous les lumières scintillaient
Les phares de la Cadillac
Milles étoiles de noël…
Sur le bitume froid de la route
Ou se reflétaient ses yeux frêles
Rien n’arrête cet instant
Son corps bouge et bouge encore
Elle semble s’envoler
Vers des azurs lointains
Il a monté le son
De la radio, les ondes
WHBK encerclent Jenny
Qui danse indifférente
Jingle bell, jingle bell, jingle bell rock
Jingle bell swing and jingle bells ring
Snowing and blowing up bushel of fun
Now the jingle hop has begun
Il a claqué la porte
De la Cadillac
Et s’est approché
De Jenny qui dansait
Sa tête a fait CLAC
Sur le parchoc
Chromé le sang de Jenny
S’échappe en une flaque
Et la radio gueulait….
Jingle bells chine in jingle bell time
Dancing and prancing in jingle bell square
In the frosty air
Jenny l’a regardé comme folle
S’est écroulé son corps frêle
Petites Euphories, petites utopies, vite retombées...
petites détresses, petites tristesses , vite arrivées ...
Le désavantage de vivre tout à fond
est de vivre la retombée euphorique à fond
Ce tracer une belle route c'est bien
Surtout avec de super copains.
Mais tout à coup, lorsque tout retombe,
Lorsque tout redevient comme avant
On a l'impression de creuser sa tombe
Et de rentrer seul dedans..
Parler de liens entre les gens c'est bien,
Surtout pour quelqu'un qui n'aime pas le genre humain.
Plus ça va, plus j'avançe et plus je pense
Que l'homme exerce son existence
a faire et à être tout ce qu'il déteste
Il détruit tout.. tel la peste
Il hante une terre déjà morte
Peut être parcqu'il croit qu'en faisait tout sa
Il se détruit lui même .
Ce qui est bien avec l'humain, c'est qu'il s'euphorise de tout
Sans réflechir à ce qu'il pourrait faire en parlant d'un NOUS
L'humain est tristement égoiste, voir très manipulateur
Il se croit seul en apesanteur, sans même avoir peur
Que l'on découvre son terrible secret
Celui que chacun sait mais que chacun tait...
L'humain veut vivre, l'humain veut survivre
Mais au fur et à mesure l'humain givre..
Il veut communiquer, il veut jouer, il veut s'amuser
Mais l'humain bien que communicateur, ne sait parler
L'humain est aussi profondément méchant,
Sincerèment chiant !
Et même parfois, l'humain se sent intelligent
Il pense tout bêtement et tout simplement.
Mais parfois ce qui peut arriver
C'est qu'il se rende compte qu'il n'a qu'à marcher
Pour vivre à peu près décemment, simplement.
Mais si par hasard, un jour l'envie lui prend
L'humain peut alors aller dormir
Ets lorsque que le grand matin va s'ouvrir
Il se lèvera et se rendra enfin compte, en vain,
Que malheureusement lui aussi fais parti des humains ...
Mathieu
Son chagrin effronte son âme;il pleure, son coeur fâne.La nuit il réflechit, car,un monde meilleur n'a pas d'ailleurs.La bataille sera terrible, tant son âme est sensible.Il devra accepter son sort, en sacrifiant son corps:passer inaperçu, dans son espoir déchu.Le blanc ira sans foi, ni loi. Ecraser son dernier toit.L'espoir de son amour aura noircit le jour.Son sentiment de solitude,à tuer son ancienne pleinitude.Il sera devenu marginal,par obligation territorialAncien bouffon, roi saltimbanqueSon courage, son égo, sa fiertén'aura su compenser son manque, son destin frôle bien de trop la banalitéapres cela plus rien ne comptera,ni vous, ni nous, ni moi, ni toila mort viendra le chercheril n'osera pas la remercierson ego est bien de trop surdimensionéEn guise d'adieu il dit à la vie: Tu n'as jamais sus me rendre mon amour,Mais on se reverra , j'en suis sûr.C'est ainsi qu'il quitta ce monde, sans aucun remord car,la vie l'aura trahi.Mathieu
Versés sombre ou incohérents
Vers ces ombres plutot errantes
Teintées d'espoir et de rareté
Peinte de noir et de clarté
Ils avancent seuls et paisiblement
La chance pleure elle est meurtrie
Ils pensent et se heurtent silencieusement
ils peuvent bonifier les coeurs triste
Ainsi les lignes chantent et défilent
Voici les signes qui tentent et qui filent
Comme une vigne sucrée qui parfume
L'homme trépigne quand il rit
Quand une femme empoigne son vit
Et ne veut pas partir en fumée quand il fume
Illustre paysage embrassant la cote,
Tel un rustre sage embrasant nos fautes,
Mon regard blême et l'esprit flou,
cette ville que j'aime me rend fou,
Le cri des mouettes aux nuées du matin,
Le bruit des prouesses dénuées de satin,
Sous le clair de lune les ruelles chantent,
Douce mer de brume rituelle et tentante,
Le pavé jonché de souvenir et d'histoire,
Je pouvais changé de devenir et y croire,
J'aviserais le futur d'un peu d'espoir,
Deauville me fait pleurer de bonheur,
Deauville fait nous explorer ta splendeur,
Ô ville que faire quand tu quitte mon coeur.
Tous les charmes d'une vie sont voilés
Par la soie que la Mort porte,
Et de tous les sentiments humains,
Seul l'Amour peut témoigner de la souffrance d'un martyre.
Vient la Haine, dont les racines,
Semblables à celles d'un chêne,
Le rattrape et le ronge,
Jusqu'à ce que toutes les larmes de la colère
Aient fui de leur nid.
Et comme l'arc-en-ciel après la tempête,
Le véritable ami apaise son désespoir.
Page 152 sur 157
Copyright © 2006 / 2021 Vos poèmes(partage de poèmes) - Tous droits réservés
Information légal Plan du site Created by Thierry.M..