A toi Phébus
A toi qui déserte mon ciel
Qu’ai je fait qui t’ait déplu
Astre du jour, divin Phébus
Appelé aussi Soleil.
Tu donnes la vie
En permettant l’éclosion
Et lorsque survient la nuit
Tu cours d’autres horizons.
Les hommes, plein de crainte
Mais aussi plein de raison
T’adressaient leurs plaintes
Au temps des mortes saisons.
Ton absence invite le froid
A envahir la terre
Vers la lune, le loup hurle aux abois
Voici déjà poindre l’hiver.
Et pourtant l’homme espère
En l ’éternel cycle des saisons
Qui fait que de cet hiver
Bientôt paraîtra des bourgeons.
A toi Soleil, astre du jour
Va toute notre admiration
Tu réchauffes les corps à l’Amour
Es tu capable de compassion
Jacques LEROUX
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