C'est dans un paysage sans visage
Recouvert d'un voile de brume
Que les arbres tracent le tatouage
D'un horizon gris d'amertume
Un lac flotte mélancoliquement
Formé de larmes de tristesse
Celles-ci accumulées avec le temps
Prouvent des jours sans allégresse
Maussade soupir est la brise
Souvenance d'un affligeant passé
Qui le cœur le sensibilise
Et l'âme la consume sans pitié
De jour en jour, cet endroit disparaît
Dans des nuages cafardeux
Le soleil tente de l'illuminait
Mais jamais ne pourra, le rendre merveilleux
Merci de laisser un commentaire !