Le vent caresse mon visage,
Doux murmure qu'est la brise du soir
Lentement soulève ma chevelure
Et me pousse vers le rivage.
Là, chantent les mouettes,
Doux chants, à tu-tête
Volant par de-là le firmament
Et défiant la force du vent.
Les vagues nagent paisibles
Entamant leur voyage
Vers l'infini, qu'est l'horizon.
Et moi, je suis là, contemplant l'océan
Ecoutant les histoires des oiseaux et du vent
Sous le regard des célèstes flambeaux
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