La où les roses se fanent,
Les épines de son cœur,
S’abiment pour la langueur,
De l’amour d’un profane.
Quand les miroirs de son âme,
Ternis de reflets bleutés,
Et ses doux cheveux dorés,
Croisèrent mon obscure flamme,
Ses doigts feutrés se posèrent,
Sur mon suave buste austère,
Succombant à la passion,
Ainsi qu’à la tentation
Or cet amour suranné,
N’était point fait pour durer.
Merci de laisser un commentaire !