La vie est belle ,
Elle nous appelle ,
Puis un jour scelle ,
Nos coeurs tout frêles ;
Quand la boisson ,
Coule à foison ,
Quand la fumée ,
Vient tout cacher ,
Toutes nos mauvaises
Faces , nos malaises ,
C'est une falaise ,
Ou une fournaise ,
Dont la sortie ,
N'est pas ainsi ;
Tu n'es que si ,
Tu sais aussi ,
Te faire paraître ,
Mieux que ton être ,
La seule fenêtre ,
C'est d'en renaître ;
Mais il faudrait ,
Abandonner ,
Tout ces objets ,
Ces fausses beautés ,
Se consacrer ,
Pas qu'a moitié ,
A la bonté ,
La pureté ;
C'est du courage ,
Et de la rage ,
Que l'on partage ,
Contre soi-même ,
Qu'il faut brandir ,
Et puis l'on vire ,
Dans un sourire ,
Avec soi-même ...
Nos coeurs tout frêles ;
Quand la boisson ,
Coule à foison ,
Quand la fumée ,
Vient tout cacher ,
Toutes nos mauvaises
Faces , nos malaises ,
C'est une falaise ,
Ou une fournaise ,
Dont la sortie ,
N'est pas ainsi ;
Tu n'es que si ,
Tu sais aussi ,
Te faire paraître ,
Mieux que ton être ,
La seule fenêtre ,
C'est d'en renaître ;
Mais il faudrait ,
Abandonner ,
Tout ces objets ,
Ces fausses beautés ,
Se consacrer ,
Pas qu'a moitié ,
A la bonté ,
La pureté ;
C'est du courage ,
Et de la rage ,
Que l'on partage ,
Contre soi-même ,
Qu'il faut brandir ,
Et puis l'on vire ,
Dans un sourire ,
Avec soi-même ...
Merci de laisser un commentaire !