Bienvenue dans l'industrie d'autodestruction de masse,
Là où l'esprit se brise et le corps se casse.
Bienvenue dans l'immobilité de l'animal social
Enchaîné par ses propres codes et morales.
Bienvenue chez ceux qui crucifient l'homme,
Et le ligote en accessoire de mode.
Bienvenue dans l'univers de la physique rachitique,
dans l'infini infiniment excentrique,
Où tu respires le Diorxygène qu'ils fument,
Où t'es pas en Vogue si t'as pas le dernier Cartier de lune.
Bienvenue dans l'espace où l'on marche sur les étoiles,
Sur la prochaine planète inhabitable,
Ou du moins par des squelettes fardés
Qui savent marcher les jambes croisées.
Bienvenue dans les forêts affichées sur les panneaux publicitaires,
C'est vrai, j'oubliais qu'on inspire mieux sans air.
Et attendre le soleil, et attendre le soleil,
Et attendre le soleil, et attendre le soleil...
Qui crèverait leurs yeux vermeils.
Et attendre le soleil et attendre le soleil
Qui sécherait nos larmes mises en bouteillles.
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