Alors te voilà encore.
Fier cavalier,à la tête d'une sanglante armée.
Tu mets à feu les collines et les forêts,
Tu mets à sang et or les montagnes funestes,
Tu jettes ton voile morose sur la clarté celeste.
Et jusqu'à ce que ton frère immaculé
te désarme,
Tu continueras à faire chuter
de mélancoliques larmes.
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