Ah toi, astre sanglant et lumineux,
Sur le monde agité vas coucher tes feux;
Que l’ombre glorieuse ainsi bas déchaînée
Enterre la lumière aussi peut estimer.
Oh toi, ténèbres d’un monde dont le déclin annoncé
Par les instruments lugubres de la mort agitée,
Sonnant la glorieuse fin d’un monde tourmenté;
Qui se réjouit enfin de son miteux trophée.
Eau enragée, qui sanglote dans de puissants vacarmes,
Terre désolé, battue de pluie et de larmes,
Ciel noir, ombres lugubres... Il faut sonner l’alarme !
Non...c’est trop tard. Il ne reste que des ruines.
Ce Monde n’est plus, la Pargue l’a tué et cendré il repose.
Rien ne bouge...Rien ne vit... même l’eau se repose.
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