Nuit froide de janvier, je sortis le bout de mon nez;
Dans ta noirceur, je me mis à marcher sans savoir où aller;
Vis dans le lointain, réverbère éclairant timidement ta noirceur dominante;
Je décidais de suivre le souffle de ton ami le vent;
Janvier murmurant à mon haliotide frigorifié;
Effaçant mes pas abandonnés tout comme;
Souvenir de notre famille échoué;
Je m’arrêtais la ou le vent me contraignis de m’aventurer;
La neige séparée tel moise qui séparât, mer agitée d’Égypte;
M’enfuir m’a ton permis par cet acte héroïque;
J’observais les arbres, courbé par le poids qu’il portait;
Petit ruisseau coulait, les larmes qui ruisselaient;
M’arrêtais et sorti le cigare remède de mon désespoir;
D’apparence mondaine, faisant tant de jaloux;
Tant voulu des autres, n’était qu’une couverture;
Allumé, son gout acre et sa fumé étouffante me vint à la bouche;
Imbibant mes poumons de sa fumer noir;
Pensement sur les plaies les plus profondes;
J’expirait la fumée qui fuit avec mes peines, peines qui me harcelait;
Ma famille se consumait tel le cigare que je tenais;
Plus le cigare avançait plus les chicanes insistantes resonnaient;
Combat perpétuelle, argent, pire poison de l’homme;
Pourfendant bonheur et famille ;
Femme que j’ai tant aimée a mon tour de me laisser aller;
Une dernière inspiration, cigare tombant dans la neige folle de janvier;
Lueur de mon cigare achevé tels les derniers instants de bonheur du mois de janvier ;
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